Cela devrait répondre aux questions que se posent les crétins qui ne comprennent pas pourquoi la colère monte. Vous aurez remarquez que la grève de jeudi a mobilisé moins les fonctionnaires et plus le secteur privé. Mais Fillon n’a rien entendu, et Sarkozy a fait un joli bras d’honneur en se barrant a Bruxelles. Je passes en France tout le mois de mai, dois-je prévoir un masque a Gaz ?
CAC 40: Halte aux bonus… et aux aides publiques?
Les nouvelles stupéfiantes se succèdent dans le contexte de la crise. 90 000 chômeurs de plus en France le mois dernier, 600 000 par mois de plus aux USA, et les entreprises au centre de la tourmente qui font polémique en raison du versement de bonus alors même que celles ci ont reçu l’aide du gouvernement que ce soit en France, mais surtout aux USA.
Cette attitude du politique en temps de crise, comme des citoyens qui ne pointent du doigt les multinationales que quand le mal est fait a de quoi exaspérer, particulièrement dans le contexte Français. Obama a fustigé AIG l’assureur américain de vouloir payer des bonus à ses employés d’une hauteur de 165 millions de dollars alors même que l’entreprise est dans une situation financière catastrophique et que celle ci a perçu une aide publique de plus de 180 milliards de dollars.
Frédéric Lefebvre est un faux cul
Bon vous le savez sûrement je ne porte guère Lefebvre dans mon cœur (un jour je le vois en clown, l’autre en vassal du monarque) , je dirais même que j’exècre la manière dont il endosse son rôle. Et là franchement ce petit montage issu du petit journal de Canal Plus est délectable:
Vu chez Cafe-froid
Petit rappel de ce que le lobbyist porte parole de l’Élysée a pu déblatérer concernant internet :
“L’absence de régulation du Net provoque chaque jour des victimes ! Combien faudra-t-il de jeunes filles violées pour que les autorités réagissent ? Combien faudra-t-il de morts suite à l’absorption de faux médicaments ? Combien faudra-t-il d’adolescents manipulés ? Combien faudra-t-il de bombes artisanales explosant aux quatre coins du monde ? Combien faudra-t-il de créateurs ruinés par le pillage de leurs œuvres ?
[…]